Les Fables de Jean de La Fontaine - 1re partie : un moraliste
Submitted by Anonyme (non vérifié)Le XVIIe siècle est le « grand siècle » de l'histoire de France ; il est le moment-clef où la nation se forme après qu'ait été établi ses fondements au XVIe siècle, avec François Ier. Ce dernier a en effet constitué une entité étatique solide, fixant les frontières de manière strictement organisée et posant une langue comme dénominateur national.
La vie économique se développe de manière générale en s'appuyant sur la capitale maintenant une centralisation de l'ensemble de la culture, aboutissant à formation psychique française se développant par la culture...

 Molière, en 1662, produit une œuvre qui va avoir un très profond retentissement et restera appelé historiquement la « Querelle de L'École des femmes ». Cela commence donc avec la pièce L'École des femmes en 1662, à quoi suit une série de critiques et d'attaques, auxquelles Molière fournit une réponse en 1663 dans La Critique de l'école des femmes.
Molière, en 1662, produit une œuvre qui va avoir un très profond retentissement et restera appelé historiquement la « Querelle de L'École des femmes ». Cela commence donc avec la pièce L'École des femmes en 1662, à quoi suit une série de critiques et d'attaques, auxquelles Molière fournit une réponse en 1663 dans La Critique de l'école des femmes. Molière a tenté, après Sganarelle ou le Cocu imaginaire, de développer certains aspects propres aux portraits. Le choix fut cependant erroné, puisqu'il tenta de faire une comédie héroïque, c'est-à-dire une comédie dont les principaux protagonistes sont des aristocrates aux valeurs typiques selon eux-mêmes : vertueux, combatifs, etc.
Molière a tenté, après Sganarelle ou le Cocu imaginaire, de développer certains aspects propres aux portraits. Le choix fut cependant erroné, puisqu'il tenta de faire une comédie héroïque, c'est-à-dire une comédie dont les principaux protagonistes sont des aristocrates aux valeurs typiques selon eux-mêmes : vertueux, combatifs, etc. La troisième œuvre de Molière, L'Étourdi ou les Contretemps, prolonge l'esprit de la farce : on retrouve un personnage à l'espagnol, Mascarille, valet ingénieux aidant dans une entreprise amoureuse son maître maladroit qui fait tout rater.
La troisième œuvre de Molière, L'Étourdi ou les Contretemps, prolonge l'esprit de la farce : on retrouve un personnage à l'espagnol, Mascarille, valet ingénieux aidant dans une entreprise amoureuse son maître maladroit qui fait tout rater. Molière, Racine, Diderot et Balzac sont les quatre grandes figures de notre culture nationale, du génie français. Tous sont le produit d'une époque progressiste, portant un progrès de civilisation. Ils assument le réalisme, avec les caractéristiques propres aux conditions de la France d'alors : celle de la monarchie absolue pour les deux premiers, celle de la bourgeoisie ascendante pour les deux autres.
Molière, Racine, Diderot et Balzac sont les quatre grandes figures de notre culture nationale, du génie français. Tous sont le produit d'une époque progressiste, portant un progrès de civilisation. Ils assument le réalisme, avec les caractéristiques propres aux conditions de la France d'alors : celle de la monarchie absolue pour les deux premiers, celle de la bourgeoisie ascendante pour les deux autres.