Molière

12 mar 2017

Le XVIIe siècle est le « grand siècle » de l'histoire de France ; il est le moment-clef où la nation se forme après qu'ait été établi ses fondements au XVIe siècle, avec François Ier. Ce dernier a en effet constitué une entité étatique solide, fixant les frontières de manière strictement organisée et posant une langue comme dénominateur national.

La vie économique se développe de manière générale en s'appuyant sur la capitale maintenant une centralisation de l'ensemble de la culture, aboutissant à formation psychique française se développant par la culture...

22 oct 2015

Pour que Jean Racine s'affirme, il faut une époque qui le produise matériellement. Il faut une forme et un contenu social adéquats. Or, ce n'est que lentement que le théâtre dispose de véritables locaux. En 1518, les Confrères de la Passion avaient arraché le monopole des représentations théâtrales, s'installant en 1548 dans une des salles de l’Hôtel de Bourgogne.

Mais leurs « mystères », représentations de scènes religieuses, furent interdits la même année, aussi ce sont des troupes ambulantes qui leur louèrent la salle. Le début du Roman comique de Scarron, en 1651, présente l'arrivée d'une troupe ambulante au Mans, de manière pittoresque, voire baroque...

24 mar 2015

Aux yeux du post-modernisme, l'histoire n'est pas marquée par le progrès de la civilisation, mais par les revendications des « marges », qui apporteraient des changements « existentiels ».

Voilà pourquoi on assiste à la diffusion totalement délirante d'articles dans une partie de la presse bourgeoise, affirmant que Molière aurait été, en quelque sorte, un « queer » avant l'heure. C'est ainsi que le montre la pièce de théâtre intitulée Le banquet d'Auteuil, et forcément cela fait écho chez les décadents.

Car pour les décadents, les seules modifications qui peuvent exister dans la société proviennent de la « marge ». Si Molière a eu un rôle historique, c'est uniquement (et forcément selon eux) parce qu'il aurait relevé de cette « marge ». D'où la réécriture de son histoire...

21 déc 2014

Y a-t-il un « art prolétarien » ?

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C'est une question qui a été un thème d'une très grande importance durant les années 1920 et 1930 : la révolution socialiste abolit-elle les superstructures du capitalisme, ou bien les dépasse-t-elle ?

Dans le premier cas, on doit abolir la famille, « révolutionner » les formes artistiques, changer totalement les goûts, les mœurs, le style de vie, etc. Dans le second cas, on prolonge ce qu'il y a de meilleur dans le passé, c'est-à-dire prendre en héritage tout le meilleur de la culture démocratique...

14 juin 2014

La Grande Révolution Culturelle Prolétarienne a commencé en Chine populaire au sujet d'une pièce de théâtre. Cela ne doit pas nous étonner : de tels moments ont bien entendu existé dans d'autres pays.

La Belgique est ainsi née de la révolte nationale contre la Hollande, à la suite d'un opéra, La Muette de Portici de Daniel-François-Esprit Auber. Le public bourgeois est galvanisé par le duo intitulé « Amour sacré de la patrie, rends-nous l'audace et la fierté », alors que l'opéra lui-même raconte comment Naples (Portici étant un port voisin) se révolte contre la domination espagnole.

Les bourgeois se réunissent dans la foulée à l’hôtel de ville, reprenant les couleurs hissées là-bas et qui donneront le drapeau belge, alors que l'insurrection nationale se profile...

20 mar 2014

Molière est donc une figure historique de la France ; c'est un artiste porté par tout un mouvement de fond, démocratique et bourgeois. La bourgeoisie aujourd'hui, devenue réactionnaire depuis 1848, le réduit toujours plus à la farce, niant la dimension de son œuvre, mais même son caractère puisque les comédies-ballets ont été transformés en comédies, et sa critique réduite à de la farce et aux bons mots.

Etudier Molière et connaître sa portée est donc une tâche incontournable pour saisir le caractère national français et comprendre l'histoire de la lutte des classes dans notre pays...

20 mar 2014

Il existe une particularité dans les œuvres de Molière, qui n'a été noté nulle part : la présence très régulière d'allusions au philosophe Aristote. Faut-il y voir ici des allusions à l'averroïsme ? C'est fort possible, puisque c'est l'averroïsme qui a été la base sur laquelle s'est développé le matérialisme en France.

La difficulté tient également au fait que les allusions à Aristote ne sont pas toujours de même nature. Dans certains cas, il s'agit de remarques faites en passant, parfois c'est même pour se moquer des philosophes pédants.

18 mar 2014

Molière ne critique pas seulement le caractère arriéré des féodaux. En effet, il y a la tentative de procéder à l'imitation de la culture, par pédantisme. Molière est une arme anti-féodale justement parce qu'il empêche la reproduction en apparence de la culture par les faussaires féodaux.

La pièce Le bourgeois gentilhomme est ainsi un rappel aux bourgeois : il faut qu'ils restent eux-mêmes, pas qu'ils copient les féodaux. Un vrai bourgeois ne doit pas se la jouer gentilhomme, il doit porter la ville nouvelle, et ne pas transposer dans celle-ci des mœurs des campagnes...

18 mar 2014

L'oeuvre de Molière possède une clef : la contradiction entre les villes et les campagnes. La féodalité consiste en les campagnes ; les bourgeois vivent dans les villes, qui étaient auparavant des bourgs fondés par les marchés tenus par les artisans.

La cour, quant à elle, choisit le camp des villes : elle est portée par l'administration de l’État s'affirmant dans un cadre nouveau : la nation...

17 mar 2014

Molière ne s'arrache donc pas à la soumission à la cour. La Comtesse d'Escarbagnas est une comédie-ballet, sans grande envergure, mais soulignant la séparation entre Paris et la province sur le plan des mœurs. A ce titre, elle célèbre la séparation villes-campagnes, en affirmant la cour et en abaissant l'aristocratie.

Le ton est le même avec Le Malade imaginaire, comédie-ballet où la pièce qui se moque des médecins est entrecoupé de danses, de chants, et de scènes à la gloire du roi et du mode de la vie de la cour...

16 mar 2014

La question de la maternité et de la sexualité par rapport à l'éducation et l'activité sociale a été un problème fondamental, comme en témoigne Les femmes savantes.

Cependant, ce n'était pas le seul écueil à l'appui fait par Molière aux femmes et à leur quête de savoir : il y a également la question de la famille. Comment s'expriment les contradictions au sein du peuple ?

Comment la contradiction villes-campagnes jouent-elles dans les rapports au sein du couple ? Comment éviter que les progrès de la culture ne tombent dans le pédantisme, et comment éviter que le pragmatisme bourgeois ne sombre dans la facilité ?

14 mar 2014

Les dernières œuvres de Molière prolongent, une dernière fois, l'offensive anti-féodale. Elles atteignent cependant une limite : celle propre à la monarchie absolue.

Les Fourberies de Scapin défendent ainsi, encore une fois, le droit au choix de la personne avec qui on veut se marier. On trouve toutefois de présente une réflexion sur le fatalisme, dans l'esprit stoïcien. Il faudrait accepter les choses telles qu'elles sont : ici se reflète le caractère passif de la bourgeoisie dans le cadre de l'alliance avec la cour.

Scapin, personnage qui manigance et qui trompe, rappelle qu'il faut prendre pourtant les choses telles qu'elles sont...

13 mar 2014

Après L'Avare, Molière revient à la comédie-ballet, avec Monsieur de Pourceaugnac. C'est une comédie où on se moque des langages incorrects aux yeux de la cour, comme le picard et l'occitan, où l'on montre que, hors de Paris, tout est naïveté. La conclusion, en elle-même, témoigne du caractère divertissant de la pièce, comme reflet de l'idéologie de la cour :

« Ne songeons qu’à nous réjouir :
La grande affaire est le plaisir. »

Dans la continuité, on a ensuite la comédie-ballet Les Amants magnifiques, joué à l'occasion du carnaval de 1670, au cours des festivités appelées pas moins que Divertissement royal. Louis XIV devait monter sur scène pour danser deux rôles, mais apparemment il ne fit pas (et par ailleurs il ne le fit plus non plus par la suite)...

7 mar 2014

 Une fois la querelle de l'école des femmes ayant ouvert la voie à la démarche de Molière, il ne restait plus qu'à continuer. La pièce réellement nouvelle qui suit, Le Mariage forcé, est ainsi de nouveau une comédie-ballet.

Pour que les choses restent claires, pour ainsi dire, c'est sur ordre de sa Majesté qu'elle est jouée en janvier 1664 au palais du Louvre, puis en février 1664 par la troupe de Monsieur, frère unique du Roi, au Théâtre du Palais-Royal devant le public.

La pièce est indéniablement brillante, puissamment intelligente. Le thème est encore une fois un homme désireux de se marier, alors qu'il ne l'a jamais fait. Il a changé d'avis, parce qu'il a adopté un point de vue réactionnaire, voyant la femme comme un objet, comme une esclave satisfaisant ses vieux jours...

6 mar 2014

Molière, en 1662, produit une œuvre qui va avoir un très profond retentissement et restera appelé historiquement la « Querelle de L'École des femmes ». Cela commence donc avec la pièce L'École des femmes en 1662, à quoi suit une série de critiques et d'attaques, auxquelles Molière fournit une réponse en 1663 dans La Critique de l'école des femmes.

Une autre pièce de 1663, intitulée L'Impromptu de Versailles, est à ajouter en fait dans cette querelle, de par sa forme particulière...

5 mar 2014

Avec Les Fâcheux en 1661, on a le grand tournant dans l'oeuvre de Molière. Non seulement on retrouve de développé le thème du portrait, mais on a cette fois bien plus : l'appui de Louis XIV, qui va donner une dimension historique à l'ensemble.

Comédie-ballet, Les Fâcheux décrit justement des personnes ennuyeuses, empêchant un homme d'aller voir la femme qu'il aime, parce qu'elles leur racontent une partie de cartes fameuse, ou bien parce qu'elles viennent chanter un air, etc.

On devine que ces fâcheux sont le genre d'importuns que connaît, en quelque sorte Louis XIV, qui va même, alors que l'oeuvre était encore à l'écriture mais que la liste était établie, en mentionner un qui manque : le fâcheux ne pensant qu'à la chasse à courre...

4 mar 2014

Molière a tenté, après Sganarelle ou le Cocu imaginaire, de développer certains aspects propres aux portraits. Le choix fut cependant erroné, puisqu'il tenta de faire une comédie héroïque, c'est-à-dire une comédie dont les principaux protagonistes sont des aristocrates aux valeurs typiques selon eux-mêmes : vertueux, combatifs, etc.

La pièce, intitulée Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux, ne fut pas un succès. L'intrigue consistait en fait en une farce transposée chez les aristocrates, avec un homme jaloux alors qu'en fait son concurrent, qui aide la princesse à revenir sur le trône, était en fait le frère de celle-ci. Une telle démarche ne pouvait qu'échouer.

Aussi, l'oeuvre suivante de Molière, L'École des maris, nous ramène dans la société elle-même, dans une problématique bourgeoise. Deux frères s'occupent de l'éducation de deux sœurs qu'ils veulent marier par la suite...

3 mar 2014

Avec les Précieuses ridicules, Molière fait donc passer la farce à la comédie consacrée aux portraits. Ce n'est qu'un début, bien entendu, et les figures types représentées – les Précieuses – visent plus un style, une approche, qu'une véritable catégorie de gens bien définie.

Cependant, voici un extrait de cette œuvre où justement, on trouve une mise en abyme – forme typique du 17e siècle et lié au Baroque – où l'on voit un personnage raconter... qu'il fait des portraits, alors que justement lui-même en est un.

Cette mise en abyme, cette image dans l'image, montre que Molière savait ce qu'il faisait, et c'est sa manière de l'expliquer au public...

2 mar 2014

La troisième œuvre de Molière, L'Étourdi ou les Contretemps, prolonge l'esprit de la farce : on retrouve un personnage à l'espagnol, Mascarille, valet ingénieux aidant dans une entreprise amoureuse son maître maladroit qui fait tout rater.

On est ici encore dans les bons mots, du type « Les plus courtes erreurs sont toujours les meilleures », tout comme dans l'oeuvre suivante, Le Dépit amoureux, où l'on retrouve Mascarille et des propos comme « On ne meurt qu'une fois, et c'est pour si longtemps ! »

Le scénario de cette quatrième pièce est toujours aussi impossible, avec un homme dépité car la femme qu'il aime se serait marié avec un autre, alors qu'en fait c'est une sœur cachée qui l'a fait, sans que son futur mari le sache par ailleurs...

1 mar 2014

Au départ, inévitablement, Molière est influencé par le théâtre populaire italien, la Commedia dell'arte qui célèbre l'ingéniosité face à la naïveté, tout en jouant fondamentalement sur la bouffonerie.

L'une des premières oeuvres de Molière, Le Médecin volant, se fonde sur cette approche avec un thème d'ailleurs traditionnel dans ce type de thếatre : le valet Sganarelle se fait passer pour un médecin ; il n'hésite pas à prétendre avoir un frère jumeau, se disputant même avec celui-ci devant quelqu'un d'autre s'il le faut, en alternant ses habits en apparaissant à la fenêtre.

Molière, pendant de nombreuses années, va porter ce théâtre là, dans le cadre d'une troupe itinérante, passant surtout dans le sud de la France...

28 fév 2014

Molière, Racine, Diderot et Balzac sont les quatre grandes figures de notre culture nationale, du génie français. Tous sont le produit d'une époque progressiste, portant un progrès de civilisation. Ils assument le réalisme, avec les caractéristiques propres aux conditions de la France d'alors : celle de la monarchie absolue pour les deux premiers, celle de la bourgeoisie ascendante pour les deux autres.

Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673), dit Molière, a été un immense dramaturge, assumant son époque selon le principe bien connu depuis de « plaire et instruire ». A l'opposé de Racine, qui avec la tragédie s'était tourné vers la psychologie dans son rapport avec l’État, Molière s'est orienté avec la comédie vers la psychologie dans son rapport avec la société.

Là où Racine dresse le tableau de portraits intérieurs tourmentés face aux exigences de la civilisation, Molière façonne des exemples typiques propres à certaines rapports sociaux...

12 mai 2013

La formation de l’État national français se fait donc en alliance avec l’Église, mais une Église qui n’a pas l’hégémonie et ne peut pas faire du baroque l’idéologie dominante. C’est le classicisme qui prédominera, en tant que forme idéologique féodale de « haut niveau », puisque royale et nationale.

9 oct 1910

Molière - L’Avare (1668)

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PERSONNAGES

Harpagon, père de Cléante et d'Élise, et amoureux de Mariane.

Cléante, fils d'Harpagon, amant de Mariane.

Élise, fille d'Harpagon, amante de Valère.

Valère, fils d'Anselme et amant d'Élise.

Mariane, amante de Cléante et aimée d'Harpagon.

10 aoû 1910

Molière - Amphitryon (1668)

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ACTEURS

MERCURE.
LA NUIT.
JUPITER, sous la forme d'Amphitryon.
AMPHITRYON, général des Thébains.
ALCMÈNE, femme d'Amphitryon.
CLÉANTHIS, suivante d'Alcmène et femme de Sosie.
SOSIE, valet d'Amphitryon.
ARGATIPHONTIDAS, capitaine thébain.
NAUCRATÈS, capitaine thébain.
POLIDAS, capitaine thébain.
POSICLÈS, capitaine thébain.

La scène est à Thèbes, devant la maison d'Amphitryon.

10 aoû 1910

Molière - George Dandin ou le mari confondu (1668)

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ACTEURS

GEORGE DANDIN, riche paysan, mari d’Angélique.

ANGÉLIQUE, femme de George Dandin et fille de M. de Sotenville.

MONSIEUR DE SOTENVILLE, gentilhomme campagnard, père d’Angélique.

MADAME DE SOTENVILLE, sa femme.

CLITANDRE, amoureux d’Angélique.

CLAUDINE, suivante d’Angélique.

LUBIN, paysan, servant Clitandre.

COLIN, valet de George Dandin.

 

La scène est devant la maison de George Dandin.

10 aoû 1910

ACTEURS

ALCESTE, amant de Célimène
PHILINTE, ami d’Alceste
ORONTE, amant de Célimène
CÉLIMÈNE, amante d’Alceste
ÉLIANTE, cousine de Célimène
ARSINOÉ, amie de Célimène
ACASTE
CLITANDRE marquis
BASQUE, valet de Célimène
UN GARDE de la maréchaussée de France
DU BOIS, valet d’Alceste
 
La scène est à Paris.
10 aoû 1910

Molière - La Princesse d’Élide (1664)

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PERSONNAGES

La Princesse d’Élide.

Aglante, cousine de la Princesse.

Cynthie, cousine de la Princesse.

Philis, suivante de la Princesse.

Iphitas, père de la Princesse.

Euryale, ou le prince d’Ithaque.

Aristomène, ou le prince de Messène.

Théocle, ou le prince de Pyle.

Arbate, gouverneur du prince d’Ithaque.

Moron, plaisant de la Princesse.

Un suivant.

 

1 Jan 1910

PERSONNAGES

Dom Garcie, prince de Navarre, amant d’Elvire.
Elvire, princesse de Léon.
Élise, confidente d’Elvire.
Dom Alphonse, prince de Léon, cru prince de Castille, sous le nom de Dom Sylve.
Ignès, comtesse, amante de Dom Sylve, aimée par Mauregat, usurpateur de l’État de Léon.
Dom Alvare, confident de Dom Garcie, amant d’Élise.
Dom Lope, autre confident de Dom Garcie, amant rebuté d’Élise.
Dom Pèdre, écuyer d’Ignès.


 

1 Jan 1910

Molière - La comtesse d'Escarbagnas (1671)

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PERSONNAGES

La Comtesse d’Escarbagnas.
Le Comte, son fils.
Le Vicomte, amant de Julie.
Julie, amante du Vicomte.
Monsieur Tibaudier, conseiller, amant de la Comtesse.
Monsieur Harpin, receveur des tailles, autre amant de la Comtesse.
Monsieur Bobinet, précepteur de Monsieur le Comte.
Andrée, suivante de la Comtesse.
Jeannot, laquais de Monsieur Tibaudier.

31 déc 1909

Molière - Les Femmes savantes (1672)

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PERSONNAGES

CHRYSALE, bon Bourgeois.
PHILAMINTE, femme de Chrysale.
ARMANDE, HENRIETTE, filles de Chrysale et de Philaminte.
ARISTE, frère de Chrysale.
BÉLISE, sœur de Chrysale.
CLITANDRE, amant d’Henriette.
TRISSOTIN, bel esprit.
VADIUS, savant.
MARTINE, servante de cuisine.
L’ÉPINE, laquais de Trissotin.
JULIEN, valet de Vadius.
LE NOTAIRE.

 

31 déc 1909

Molière - Les Fourberies de Scapin (1671)

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PERSONNAGES

Argante, père d’Octave et de Zerbinette.
Géronte, père de Léandre et de Hyacinte.
Octave, fils d’Argante, et amant de Hyacinte.
Léandre, fils de Géronte, et amant de Zerbinette.
Zerbinette, crue Égyptienne, et reconnue fille d’Argante, et amante de Léandre.
Hyacinte, fille de Géronte, et amante d’Octave.
Scapin, valet de Léandre, et fourbe.
Silvestre, valet d’Octave.
Nérine, nourrice de Hyacinte.
Carle, fourbe.
Deux porteurs.

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