Le chant des Brigades partisanes juives: Ne dis jamais que c’est ton dernier chemin!
Submitted by Anonyme (non vérifié)Voici les paroles du chant historique des Brigades partisanes juives durant la seconde guerre mondiale impérialiste. Il n'y aura pas de nouvel holocauste!
Ne dis jamais que c’est ton denier chemin
Malgré les cieux de plomb qui cachent le bleu du jour
Car sonnera pour nous l’heure tant attendue
Nos pas feront retentir ce cri : nous sommes là
Le soleil illuminera notre présent
Les nuits noires disparaîtront avec l’ennemi
Et si le soleil devait tarder à l’horizon
Ce chant se transmettra comme un appel
Ce chant n’a pas été écrit avec un crayon mais avec du sang
Ce n’est pas le chant d’un oiseau en liberté :
Un peuple entouré de murs qui s’écroulent
l’a chanté, le nagan [pistolet soviétique] à la main
Du vert pays des palmiers jusqu’au pays des neiges blanches
Nous arrivons avec nos souffrances et nos douleurs
Et là où est tombé la plus petite goutte de sang
Jaillira notre héroïsme et notre courage
C’est pourquoi ne dis jamais que c’est ton dernier chemin
Malgré les cieux de plomb qui cachent le bleu du jour
Car sonnera pour nous l’heure tant attendue
Nos pas feront retentir ce cri : nous sommes là
Zog nit keynmol az du gayst dem letzten veg,
Ven himlen blayene farshteln bloye teg;
Vayl kumen vet noch undzer oysgebenkte shuh,
Es vet a poyk tun undzer trot - mir zaynen do!
Es vet di morgenzun bagilden undz dem haynt,
Un der nechten vet farshvinden mitn faynt;
Nor oyb farzamen vet di zun in dem ka-yor,
Vi a parol zol geyn dos leed fun door tzu door.
Geshriben iz dos leed mit blut und nit mit bly,
S'iz nit keyn leedl fun a foygel oyf der fry;
Dos hut a folk tzvishen falendi-ke vent,
Dos leed gezungen mit naganes in di hent.
Fun grinem palmenland biz land fun vaysen shney,
Mir kumen un mit undzer payn, mit undzer vey;
Un voo gefalen iz a shpritz fun undzer blut,
Shpritzen vet dort undzer gvure, undzer mut.
Zog nit keyn mol az du gayst dem letzten veg,
Ven himlen blayene farshteln bloye teg;
Kumen vet noch undzer oysgebenkte shuh,
Es vet a poyk tun undzer trot -- mir zaynen do