textes de tragédie grecque
Homère - L'Illiade - Chants XVI à XX
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT XVI
C'était ainsi que, pour ce vaisseau solidement charpenté, les guerriers combattaient. Pendant ce temps, Patrocle se tenait debout auprès d'Achille pasteur des guerriers, versant de chaudes larmes, comme une source à l'eau noire qui fait couler son eau sombre du haut d'un roc escarpé. En le voyant, le divin Achille aux pieds rapides fut pris de compassion. Prenant alors la parole, il dit ces mots ailés :
Homère - La Batrachomyomachie
Submitted by Anonyme (non vérifié)Muses daignez abandonner les hauteurs de l'Hélicon, venez dans mon âme m'inspirer mes vers. Mes tablettes sont placées sur mes genoux, je vais apprendre à tous les hommes une grande querelle, ouvrage terrible du dieu Arès : comment les rats marchèrent contre les grenouilles, comment ils imitèrent dans leurs exploits ces mortels qui passent pour être les géants fils de Gaïa.
Voici quel fut le principe de la guerre :
Homère - L'Illiade - Chants XI à XV
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT XI
Homère - L'Illiade - Chants VI à X
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT VI
Seuls, Troyens et Achéens restèrent alors dans l’atroce mêlée. Et souvent, ça et là, le combat s'étendit dans la plaine, tandis qu'ils dirigeaient les uns contre les autres leurs lances aux pointes de bronze, entre les cours du Simoïs et du Xanthe.
Homère - L'Illiade - Chants I à V
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT I
Homère
Submitted by Anonyme (non vérifié)Antiquité grecque : textes de tragédie
Submitted by Anonyme (non vérifié)Homère - Hymnes
Submitted by Anonyme (non vérifié)HYMNE I
À Apollon
Homère - L'Odysée - Chants XXI à XIV
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT XXI
Homère - L'Odysée - Chants XVI à XX
Submitted by Anonyme (non vérifié)CHANT XVI
Cependant tous les deux sous la hutte, Ulysse et le divin porcher, préparaient le repas du matin ; ils avaient allumé du feu et envoyé les gardiens accompagner les porcs rassemblés en troupeaux. Télémaque arrivait, lorsque les chiens prompts à japper l'entourèrent en agitant leurs queues, sans pourtant aboyer. Le divin Ulysse aperçut les chiens qui remuaient la queue, et entendit venir un bruit de pas. Aussitôt il adressa à Eumée ces paroles ailées :