Le KKE et la démocratie populaire - 14e partie : Nikos Béloyannis
Submitted by Anonyme (non vérifié)De manière officielle, l’État grec réactionnaire avait perdu 55 528 soldats, alors que 38 839 soldats de la DSE avaient été tués ou blessés.
Mais la cessation de la lutte armée ne signifiait nullement la fin de la lutte des classes ; il restait d'ailleurs différentes unités et les deux derniers partisans de la DSE, Giorgos Tzompanakis et Spiros Blazakis en Crète, descendirent par exemple de la montagne en 1975 seulement, après l'effondrement de la dictature des colonels le 24 février.
C'est le général Aléxandros Papágos, le dirigeant des armées réactionnaires soutenues par les États-Unis d'Amérique, qui reçut la charge de réorganiser le pays...