4
juil
2009
L’Etat bourgeois soutient le rappeur fasciste Orelsan : le rôle du prétexte de la « liberté d’expression » dans la contre-révolution
Submitted by Anonyme (non vérifié)
Mardi, dernier jour du festival des Francofolies de La Rochelle, le ministre de la culture Frédéric Mittérand a pris la défense du rappeur fasciste Orelsan (dont Contre-informations a déjà parlé) en ces termes : « Je trouve toute cette polémique tout à fait ridicule. Orelsan exprime le dépit amoureux [...] il a le droit tout à fait légitime de composer sa chanson et de la chanter où il veut. » Orelsan avait d’ailleurs réclamé la veille « que le ministre de la Culture se prononce sur le sujet ».
L’Etat bourgeois prend donc la défense d’un fasciste au nom du prétexte préféré de la bourgeoisie et de la petite-bourgeoisie, à savoir la liberté d’expression.
Pourtant, nous, communistes marxistes-léninistes-maoïstes, savons bien que la « liberté d’expression » ne signifie absolument rien dans la société de classes capitaliste dominée par la bourgeoisie.
Dans le système capitaliste, la « liberté d’expression » est en vérité la liberté d’oppression exercée par la bourgeoisie contre le prolétariat, et en particulier les femmes, principales victimes de la violence patriarcale indissociable du capitalisme. Les masses cherchent justement à se libérer de cette liberté d’oppression que la propagande bourgeoise voudrait faire passer pour « liberté d’expression ».
Orelsan n’est donc pas du tout une victime mais au contraire un serviteur aux ordres de l’idéologie dominante de notre époque, celle de la putréfaction du capitalisme dégénérant en fascisme.
D’ailleurs, sa déprogrammation des Francofolies le met opportunément sur le devant de la scène et les médias bourgeois, en complices serviles des classes exploiteuses, lui servent tous la soupe. Ainsi, les médias bourgeois relient tous la polémique à la chanson « sale pute » en rappelant qu’Orelsan ne la chante plus sur scène, histoire de le présenter comme la victime d’un acharnement, d’une injustice.
Pourtant, Orelsan est bel et bien l’expression de la petite-bourgeoisie en crise empêtrée dans son individualisme et faisant étalage d’une vision du monde fasciste, comme le montrent absolument TOUTES ses chansons.
Entre l’expression de la brutalité patriarcale du style « J’adore passer par les p’tits trous j’adore me sentir à l’étroit » ou « En un quart d’heure j’avais ma bite dans ta ceinture abdominale » (50 %), Orelsan résume une approche de la vie typiquement fasciste que partagent tous les petits-bourgeois libertaires pataugeant dans leur individualisme et leur nihilisme (alcoolisé) contre-révolutionnaire :
« Qu’est-ce qu’on s’en branle du futur quand on comprend pas l’présent ? » (no life)
« J’men bats les couilles d’y croire moi j’préfère boire et perdre espoir. J’men bats les couilles de faire croquer moi j’préfère jouer les stars.J’veux vivre à fond , t’façon les gentils garçons s’font marcher d`ssus . J’suis dans l’excès , j’claques mes thunes quitte à m’endetter. J’me laisses contrôler par mon côté animal , j’assouvis mes pulsions j’me sens attiré par les flammes , j’suis pris dans la spirale . Pour m’faire du bien j’me fais du mal .
J’ai plus envie d’avancer j’ai juste envie d’me mettre une balle .La morale c’est allez tous vous faire baiser! J’préfère détester qu’aimer , j’préfère détruire que d’créer . J’pourrais m’instruire mais j’préfère rien branler devant la télé !
J’pourrais trouver l’amour mais j’l'échangerai contre n’importe quel trainée ! Entre ciel et terre c’est l’diable qui m’tend la main , donc j’me sers un dernier verre quitte à finir dans l’ravin !!!! (entre bien et mal)
A propos de petite-bourgeoisie, il est aussi tout à fait logique que la « scène française » tournant en rond dans sa nostalgie « décalée » et ses engagements « poétiques » ait massivement apporté son soutien à Orelsan (Olivia Ruiz, Benabar, Tryo, Cali…). Tout aussi logique est la récupération opportuniste de Ségolène Royal qui voudrait dévier le féminisme révolutionnaire cherchant à abattre le patriarcat vers de fausses solutions « légalistes ».
En fait, avec le cas Orelsan, la bourgeoisie s’est payée à bon compte un débat sur la censure et la « liberté d’expression » pour consolider la progression du fascisme. La « liberté d’expression » constitue une des attaques privilégiées de la bourgeoisie contre le communisme, censé être « autoritaire ». Ce n’est pas un hasard si La bourgeoisie, entre autres bavardages anti-communistes, n’en finit pas de geindre sur la juste répression des masses contre les réactionnaires pendant la Révolution culturelle en Chine populaire.
Mais le communisme, c’est le pouvoir au peuple et le peuple exige la répression de toutes les forces contre-révolutionnaires attachées à l’exploitation capitaliste, le peuple exige l’anéantissement complet du fascisme. La révolution se renforcera dans la dictature du prolétariat qui arrachera toutes les vieilles idées des oppresseurs du peuple pour construire le monde nouveau, le communisme!
L’Etat bourgeois prend donc la défense d’un fasciste au nom du prétexte préféré de la bourgeoisie et de la petite-bourgeoisie, à savoir la liberté d’expression.
Pourtant, nous, communistes marxistes-léninistes-maoïstes, savons bien que la « liberté d’expression » ne signifie absolument rien dans la société de classes capitaliste dominée par la bourgeoisie.
Dans le système capitaliste, la « liberté d’expression » est en vérité la liberté d’oppression exercée par la bourgeoisie contre le prolétariat, et en particulier les femmes, principales victimes de la violence patriarcale indissociable du capitalisme. Les masses cherchent justement à se libérer de cette liberté d’oppression que la propagande bourgeoise voudrait faire passer pour « liberté d’expression ».
Orelsan n’est donc pas du tout une victime mais au contraire un serviteur aux ordres de l’idéologie dominante de notre époque, celle de la putréfaction du capitalisme dégénérant en fascisme.
D’ailleurs, sa déprogrammation des Francofolies le met opportunément sur le devant de la scène et les médias bourgeois, en complices serviles des classes exploiteuses, lui servent tous la soupe. Ainsi, les médias bourgeois relient tous la polémique à la chanson « sale pute » en rappelant qu’Orelsan ne la chante plus sur scène, histoire de le présenter comme la victime d’un acharnement, d’une injustice.
Pourtant, Orelsan est bel et bien l’expression de la petite-bourgeoisie en crise empêtrée dans son individualisme et faisant étalage d’une vision du monde fasciste, comme le montrent absolument TOUTES ses chansons.
Entre l’expression de la brutalité patriarcale du style « J’adore passer par les p’tits trous j’adore me sentir à l’étroit » ou « En un quart d’heure j’avais ma bite dans ta ceinture abdominale » (50 %), Orelsan résume une approche de la vie typiquement fasciste que partagent tous les petits-bourgeois libertaires pataugeant dans leur individualisme et leur nihilisme (alcoolisé) contre-révolutionnaire :
« Qu’est-ce qu’on s’en branle du futur quand on comprend pas l’présent ? » (no life)
« J’men bats les couilles d’y croire moi j’préfère boire et perdre espoir. J’men bats les couilles de faire croquer moi j’préfère jouer les stars.J’veux vivre à fond , t’façon les gentils garçons s’font marcher d`ssus . J’suis dans l’excès , j’claques mes thunes quitte à m’endetter. J’me laisses contrôler par mon côté animal , j’assouvis mes pulsions j’me sens attiré par les flammes , j’suis pris dans la spirale . Pour m’faire du bien j’me fais du mal .
J’ai plus envie d’avancer j’ai juste envie d’me mettre une balle .La morale c’est allez tous vous faire baiser! J’préfère détester qu’aimer , j’préfère détruire que d’créer . J’pourrais m’instruire mais j’préfère rien branler devant la télé !
J’pourrais trouver l’amour mais j’l'échangerai contre n’importe quel trainée ! Entre ciel et terre c’est l’diable qui m’tend la main , donc j’me sers un dernier verre quitte à finir dans l’ravin !!!! (entre bien et mal)
A propos de petite-bourgeoisie, il est aussi tout à fait logique que la « scène française » tournant en rond dans sa nostalgie « décalée » et ses engagements « poétiques » ait massivement apporté son soutien à Orelsan (Olivia Ruiz, Benabar, Tryo, Cali…). Tout aussi logique est la récupération opportuniste de Ségolène Royal qui voudrait dévier le féminisme révolutionnaire cherchant à abattre le patriarcat vers de fausses solutions « légalistes ».
En fait, avec le cas Orelsan, la bourgeoisie s’est payée à bon compte un débat sur la censure et la « liberté d’expression » pour consolider la progression du fascisme. La « liberté d’expression » constitue une des attaques privilégiées de la bourgeoisie contre le communisme, censé être « autoritaire ». Ce n’est pas un hasard si La bourgeoisie, entre autres bavardages anti-communistes, n’en finit pas de geindre sur la juste répression des masses contre les réactionnaires pendant la Révolution culturelle en Chine populaire.
Mais le communisme, c’est le pouvoir au peuple et le peuple exige la répression de toutes les forces contre-révolutionnaires attachées à l’exploitation capitaliste, le peuple exige l’anéantissement complet du fascisme. La révolution se renforcera dans la dictature du prolétariat qui arrachera toutes les vieilles idées des oppresseurs du peuple pour construire le monde nouveau, le communisme!
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