Editorial du 16 juin 2014
Submitted by Anonyme (non vérifié)Les lithographies rouges et blanches de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne constituent un héritage important de l'histoire des communistes.
Les lithographies rouges et blanches de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne constituent un héritage important de l'histoire des communistes.
La Grande Révolution Culturelle Prolétarienne en images...
En apparence, en 1969, la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne avait été un succès plein. Cependant, l'intervention de l'armée pour appuyer les rebelles et les gardes rouges posait un problème concret. En l'occurrence, lors du IXe congrès, le responsable de l'armée, Lin Piao, formula un document pour dire que la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne était précisément terminée.
De la même manière, Lin Piao se posait contre la réhabilitation des cadres ayant fait leur autocritique, et il sabotait le remplacement des comités révolutionnaires, supervisés par l'armée, par les comités provinciaux. En fait, Lin Piao comptait profiter de la situation pour que l'armée prenne le contrôle du Parti et du pays.
En pratique, des 170 membres du Comité Central issu du IXe congrès du Parti Communiste de Chine, 74 étaient des représentants de l'Armée Populaire de Libération, et 38 d'entre eux étaient des commandants ou commissaires régionaux...
Le transfert de pouvoir à la Triple Union dans la ville de Shanghai devint un modèle pour tout le pays, où le principe fut appliqué zone par zone, les dernières étant celles du Sinkiang et du Tibet en septembre 1968 et annoncées dans un éditorial commun du Quotidien du Peuple et du Quotidien de l'armée.
Cela n'alla pas sans mal. Dans la ville de Wuhan, les gardes rouges et les rebelles, au nombre de 400 000, affrontait la faction du « Million de héros » qui profitait de l'appui du général Chen Zaidao, qui fit même arrêter Xie Fuzhi, un dirigeant révolutionnaire envoyé par Mao Zedong pour ordonner au général de cesser un tel soutien.
Dans le Hunan, il y a également la fraction ultra-gauchiste du Shengwulian (Comité d'Union des révolutionnaires prolétariens du Hunan), qui devient le centre névralgique de l'ultra-gauchisme dans tout le pays...
C'est à Pékin que le mouvement des gardes rouges prit son envol au départ, la jeunesse de tout le pays affluant dans la capitale chinoise pour rejoindre officiellement l'initiative. Toutefois, le mouvement des gardes rouges émula les masses en général, qui se lancèrent dans la bataille politique ; la question dépassait désormais la simple jeunesse.
Par conséquent, les usines furent également touchées, avec une vague de révolte contre l'organisation du travail mise en place par les partisans de la voie capitaliste. Les ouvriers se lançant dans ce mouvement prirent le nom de « rebelles » et de « révolutionnaires prolétariens ».
La ville de Shanghai devient alors l’abcès de fixation de la bataille. Shanghaï est en effet alors le premier centre industriel de Chine, et dix millions de personnes y vivaient. Les forces conservatrices au sein du Parti Communiste y étaient particulièrement fortes...
L'objectif des Gardes Rouges était de frapper les partisans de la voie capitaliste infiltrés dans le Parti, afin de protéger la Pensée Mao Zedong, et donc par là la nature authentique du Parti Communiste de Chine.
Furent ainsi organisées des campagnes de dénonciation, par l'intermédiaire de l'agitation et de la propagande, avec les dazibaos en particulier, jusqu'à parvenir à généraliser des mouvements de masses forçant les cadres révisionnistes à s'avouer vaincus et à faire leur autocritique.
La règle était de ne pas utiliser de violence physique et de ne frapper que la petit minorité de cadres soutenant le révisionnisme, afin que les masses s'approprient entièrement l'expérience de la critique des révisionnistes...
Voici comment la situation de la période juste avant la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne est présentée dans un éditorial du Hongqi (le drapeau rouge) de 1966.
Avec une profonde douleur et une vive émotion, nous exprimons au Comité Central du Parti Communiste Chinois et à travers lui au glorieux Parti, à la classe ouvrière et au peuple de Chine, notre grande peine pour cette immense et irréparable perte que signifie le décès du Président Mao Tsétoung, fondateur et guide lumineux du PCC, sage et infatigable dirigeant de la révolution chinoise et grand éducateur du prolétariat international, des peuples opprimés et de la révolution mondiale.
Mao Zedong a été le premier grand théoricien de la notion de fascisme dans les pays contrôlés par le colonialisme. Selon lui, les colonisateurs font en sorte qu’émergent de nouvelles classes sociales qui lui soient liées. Dans les villes existe ainsi la bourgeoisie compradore, terme venant du portugais ; il s’agit d’une bourgeoisie bureaucratique, servant d’intermédiaire au service des colonisateurs. Dans les campagnes, les colonisateurs soutiennent la mise en place de grands propriétaires terriens.
La colonisation installe donc des régimes fascistes, où la dictature prévaut. Les communistes ont donc considéré la Chine comme un régime de type fasciste, où « la terreur ouverte prévaut » (Zhou Enlai, A propos du fascisme chinois)...
par Yao Wen-yuan
Hongqi du 1er septembre 1976
Les œuvres de Luxun contiennent une abondante expérience de la lutte des classes et de la lutte entre les deux lignes ; les essais de la dernière période de sa vie, en particulier, sont riches de dialectique matérialiste.
Par le groupe de critique de masse de l'Université de Pékin et de l'Université Tsinghoua, 1975.
Confucius était têtu, féroce mais au fond très faible ; c'était un sinistre individu, retors et pourri jusqu'à la moelle. Ces traits, qui caractérisaient la classe des esclavagistes sur le déclin, sont communs aux représentants de toutes les classes réactionnaires au bord de l'effondrement.
Tang Hsiao-wen , 1975.
Kao Heng , 1975
En relation avec une étude de la base sociale de la polémique entre confucéens et légalistes
Louo Seting , 1975
par Yu Qiuyu
Tout récemment, les camarades de la Bibliothèque de l'Université Sun Yatsen de Canton ont découvert un inédit de Luxun qui était paru quelque cinquante ans plus tôt, en 1927, dans un journal de Canton ; il avait pour titre En célébrant la reconquête de Shanghai et de Nankin.
Tcheh Kiun
Yang Jongkouo
Lénine dit que l'idéalisme est «un instrument de la réaction, un propagateur de la réaction » ( »Nos abrogateurs »). Tout le long de l'histoire, l'apriorisme professé par les philosophes idéalistes a été l'instrument », le «propagateur » qu'utilisaient les classes réactionnaires gouvernantes pour duper et endormir les masses populaires, afin de consolider leur domination réactionnaire.
Fang Hai
En Chine, depuis que le prolétariat est apparu sur la scène politique en tant que force politique, consciente et indépendante, toutes les grandes révolutions sous sa conduite ont été étroitement liées à la critique contre la doctrine réactionnaire de Confucius-Mencius.
Yao Wenyuan,
Publié dans Hongqi, N° 3, 1975
Notre pays pratique à l'heure actuelle le système marchand, et le système des salaires est inégal, il y a les salaires à huit échelons, etc.
Tout cela, on ne peut que le restreindre sous la dictature du prolétariat.
Par Ho Yu
Publié dans le Hongqi du 28 octobre 1974
Voilà 25 ans que la République populaire de Chine progresse victorieusement le long d'une voie jalonnée de combats.
Editorial du Renmin Ribao, 18 juin 1974
Au cours du mouvement de critique de Lin Piao et de Confucius, une atmosphère révolutionnaire, plus dynamique que jamais, règne sur notre front théorique.
Liang Hsiao
Publié dans le Hongqi n°10, 1974
Wou Kiun
Publié dans le Hongqi n°10, 1974
par Tien Kai
Confucius (551479 av. J.C.) fut un idéologue réactionnaire qui défendit obstinément le régime esclavagiste.
par Tien Li
Originaire de l'actuel district de Tseouhsien, dans la province du Ghantong, Mencius (390305 av.J.C.) dont le nom de famille était Meng et le prénom Keh, fut l'élève d'un disciple de Tse Se, petitfils de Confucius.
par Liang Hsiao
Confucius, issu de l'aristocratie esclavagiste en décrépitude, vécut à la fin de l'époque de Tchouentsieou («Printemps et Automne» 770476 av. J.C.).
par Yang Jongkouo
A l'heure actuelle, tout le Parti, toute l'armée et tout le peuple traduisent consciencieusement dans la réalité les directives du président Mao et du Comité central du Parti.
La situation sur tous les fronts de la révolution et de la production est toujours meilleure.
Devant cette situation excellente, fautil encore poursuivre le mouvement de critique de Lin Piao et de Confucius en tant que tâche primordiale ?
par Yen Feng
«La bienveillance, la justice et la vertu » de Confucius constituent une partie importante du contenu de la ligne révisionniste contrerévolutionnaire de Lin Piao qui visait à «se modérer et en revenir aux rites».
Les premiers étudiants recrutés parmi les ouvriers, les paysans et les soldats du département de philosophie de l'Université de Pékin ont consacré leur dernier trimestre d'universitaires à rédiger une étude critique de Louen Tu ou Entretiens de Confucius. Cet ouvrage, intitulé Etude critique de « Louen Tu », sera édité par la librairie Tchonghoua.
Louen Tu est un recueil de paroles et de sentences de l'apologiste du système esclavagiste.
par les groupes de critique de masse de l'Université de Pékin et de l'Université Tsinghoua
par Li Juchi
Le programme politique du traître et renégat Lin Piao en vue d'usurper la direction du Parti, s'emparer du pouvoir et rétablir le capitalisme, consistait à « en revenir aux rites » et le programme théorique de ce retour aux rites était la théorie du « génie inné. »
Afin d'approfondir la critique du « retour aux rites », il faut d'abord exposer et critiquer la théorie du « génie inné » de Lin Piao au point de vue de la philosophie, des sciences naturelles et des sciences sociales.
Ce qui suit n'est qu'une critique préliminaire.I
par Yang Hsuehnungo
Pendant longtemps, il y a eu une lutte intense entre le matérialisme et l'idéalisme et entre la dialectique et la métaphysique au sujet de l'origine et du développement de la pensée.
Depuis la première apparition d'une division de classe dans la société humaine, toutes les classes exploiteuses réactionnaires ont invariablement interprété d'une façon idéaliste l'origine et le développement de la pensée, dans l'intention de sauvegarder leurs propres intérêts de classe et préserver leurs préjugés de classe bien enracinés.
Critique du sophisme confucéen de la « connaissance innée » et de la théorie réactionnaire du « génie inné » de Lin Piao
par Chao Puyù
[L'auteur est ouvrier paysan soldat de l'Ecole de Médecine de Kirin]
La connaissance se formetelle a priori ou a posteriori ? Qui fait l'histoire, les héros ou les esclaves ?
par Yao Shihchang
[L'auteur fait partie de la Brigade de production de Tuanchieh, commune de Nanwang, comté de Penglai, Chantong]
Il y a plus de 2000 ans, dans le but de «ressusciter un état de choses éteint» et rétablir la dictature de la classe esclavagiste, Confucius répandit le sophisme réactionnaire de la « connaissance innée ».
Il proclama même sans vergogne : « Ma vertu est un don du ciel ».
par Tsai Tzuchuan, chercheur au laboratoire de Source de Lumière électrique, Université de Futan, Changhaï
Les réactionnaires de toutes les époques ont invariablement répété le prêche idéaliste de Confucius selon lequel « seuls les nobles qui sont intelligents, et les humbles qui sont sots, ne peuvent changer », ce qui leur servait de prétexte pour «justifier l'exploitation et l'oppression ».
Armés de la penséemaotsétoung, les ouvriers, paysans et soldats sont les plus audacieux à rompre avec les conceptions traditionnelles et les plus avertis dans la critique de Lin Piao et de Confucius. Nous publions cidessous des reportages sur leur participation active à cette lutte.
Sin Feng, 1974
Quelques réflexions sur ce problème par Feng Yeoulan
Présenté par Chou Enlaï le 24 août et approuvé le 28 août 1973
Camarades,
Le Xe Congrès du Parti communiste chinois se tient à un moment où la clique antiparti de Lin Piao a été écrasée, où la ligne du IXe Congrès du Parti a été couronnée de grandes victoires et où une situation excellente règne tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays.
[ Note :
Par la cellule du Parti, les paysans pauvres et moyens-pauvres de la brigade de Tatchai, district de Siyang, province du Chansi, 1972
Notre grand dirigeant, le président Mao, nous enseigne : «Que la philosophie soit libérée de la salle de conférence et des livres des philosophes, et devienne une arme acérée aux mains des masses. »
par Jin Yanshi
Sous la conduite de sa cellule du Parti, la brigade de production de Tatshai, située dans une région montagneuse à plus de 1000 m d'altitude dans le Shanxi, en Chine du Nord, lutta contre la nature pour aménager des champs en terrasses à rendement stable et élevé, grâce à ses propres forces et à un labeur inlassable. D'un pauvre village de montagne avant la Libération, Tatshai est devenu un nouveau village socialiste florissant.
Notes d'étude à propos de « Sur les négociations de Tchongking » .
Par Hong Yuan ,
Publié dans le Hongqi n°7, 1972
Par Kouo Chousou, médecin militaire de l'Hôpital 106 d'une unité de l'Armée populaire de Libération de Chine, 1972
Je pratiquais la médecine générale quand, il y a quelques années, nos dirigeants décidèrent que je devrais me spécialiser en neurologie.
Tsin Yen
Publié dans le Hongqi, mai 1972
Les brillantes « Interventions aux causeries sur la littérature et l'art à Yenan » faites il y a 30 ans par le président Mao, continuent, sauvegardent et développent la conception marxisteléniniste du monde et la théorie marxisteléniniste sur la littérature et l'art.
Comment évoluent les contradictions de classes et la lutte de classes dans la période historique du socialisme ?
Quelles sont les lois qui les régissent ?
Par le groupe de critique de masse de l'Université de Pékin et de l'Université de Tsinghoua
Par le Groupe rédactionnel de la vaste critique révolutionnaire de l'École du Parti relevant du C. C. du P. C. C.
Par le Groupe d'études philosophiques des ouvriers de ta Verrerie de Tchangtcbouen, 1972
par Tchong Wen
Il y a trente-six ans, les milieux littéraires et artistiques chinois participèrent à un grand débat sur les deux slogans : «la littérature de masses au service de la guerre révolutionnaire nationale» et la prétendue littérature de défense nationale».
Ce fait que nous évoquons ici est encore aujourd'hui plein de signification. La ligne révisionniste contre-
Par le Groupe d'études philosophiques des ouvriers de l'atelier N° 3 de l'Usine de produits chimiques de Tientsifi, 1972
par Siué Hsiangtong, chauffeur d'une compagnie de transport d'une unité de l'Armée populaire de Libération de Chine, 1972
Par le Groupe ouvrier d'études philosophiques du Chantier naval de Sinkang à Tïentsin, 1972
Inspirés par l'esprit du IXe Congrès du Parti, les ouvriers révolutionnaires de notre Chantier naval de Sinkang étudient et s'appliquent à matérialiser la doctrine philosophique du président Mao et déploient l'intrépide esprit révolutionnaire prolétarien.
Par Pïao Hsingchou, président du comité révolutionnaire de la brigade de production Kienkouo du district de Tiéli, 1972
L'apriorisme est une philosophie réactionnaire pour duper le peuple travailleur
NOTES D'ÉTUDE D'ANTIDÜHRING par Wang Tcheh
Dühring, « génie » ou escroc ?
AntiDühring, cette grande œuvre de F. Engels, vit le jour à la suite d'une lutte acharnée au sein du Parti.
Critique d'une tendance erronée sur la rétribution du travail dans les campagnes
Le drapeau rouge , février 1972
QIAO GUANHUA, 15 novembre 1971
Personne n'ignore que la Chine est un des membres fondateurs des Nations unies.
En 1949, le peuple chinois a renversé la domination réactionnaire de la clique de Tchiang Kaichek et fondé la République populaire de Chine.
Dès lors, les droits légitimes de la Chine à l'ONU auraient dû tout naturellement revenir à la R.P.C.
Hsinhua, 31 octobre 1971
Les réactionnaires japonais ayant à leur tête Eisaku Sato ne se sont pas résignés à la défaite cuisante qu'ils ont subie à la 26e session de l'Assemblée générale de l'O.N.U.; ils redoublent d'efforts dans leur complot visant à créer «un Taïwan indépendant » dans la vaine tentative d'occuper de nouveau la province de Taïwan, territoire chinois.
Hsinhua, 31 octobre 1971
Hsinhua, Renmin Ribao, 23 octobre 1971
Taïwan est la plus grande île de la côte sudest de la Chine. Des liens serrés tant culturels qu'économiques existent depuis des temps reculés entre Taïwan et le continent.
Renmin Ribao du 10 août 1971
L'équipe sanitaire de l'Armée populaire de libération de l'hôpital n°165 et le personnel sanitaire de l'hôpital psychiatrique de la région de Tchentchéou, dans le Hounan, prenant la pensée de Mao Zedong comme guide de leur pratique sanitaire, ont ouvert une voie nouvelle pour la guérison des maladies mentales.
Etude de « Au sujet de notre politique » de Mao Zedong,
Par le Groupe rédactionnel du Comité provincial du Houpei du Parti communiste chinois,
Publié dans le Hongqi n°9, 1971
« L'orientation est juste ; c'est un succès dans la révolution du ballet, et la qualité artistique est bonne. »
Telle fut l'appréciation de notre grand dirigeant, le président Mao, au sujet du ballet à thème révolutionnaire contemporain Le Détachement féminin rouge.
Notre grand dirigeant, le président Mao, a indiqué : « Toute chose se divise invariablement en deux. » « La loi de la contradiction inhérente aux choses, aux phénomènes, ou loi de l'unité des contraires, est la loi fondamentale de la dialectique matérialiste. » (De la contradiction)
Cette thèse scientifique du président Mao est une expression profonde de la loi objective des choses et expose de façon pénétrante la quintessence de la dialectique matérialiste.
Quel est le facteur décisif de l’issue d’une guerre, l’homme ou les armes ?
Voilà une question où se voit la divergence fondamentale entre les deux doctrines militaires, la prolétarienne et la bourgeoise, entre le marxisme-léninisme, la pensée mao-tsétoung et le révisionnisme, ancien et nouveau.
Le président Mao, notre grand commandant en chef, nous a enseigné « Les armes sont un facteur important, mais non décisif, de la guerre. Le facteur décisif, c’est l’homme et non le matériel ». Il a encore souligné avec clairvoyance « La bombe atomique est un tigre en papier dont les réactionnaires américains se servent pour effrayer les gens. Elle a l’air terrible, mais en fait, elle ne l’est pas.
Bien sûr, la bombe atomique est une arme qui peut faired’immenses massacres, mais c’est le peuple qui décide de l’issue d’une guerre. Et non une ou deux armes nouvelles ». Ces brillantes thèses ont considérablement raffermi le moral du prolétariat et des peuples révolutionnaires du monde et rabattu énergiquement l’arrogance de tout impérialisme et de toute la réaction.
Article paru dans le Hongqi, n°67, 1969
[Stanislavski était un théoricien du théâtre qui avait fui la révolution russe de 1905, rentrant en Russie seulement après cette période révolutionnaire préfigurant la révolution d'Octobre 1917]
Partir des ouvriers, paysans et soldats ou de « soi-même »?
Chanter les ouvriers, paysans et soldats ou louer la bourgeoisie, voilà où est la différence fondamentale entre les deux conceptions de littérature et d'art, celle du prolétariat et celle de la bourgeoisie.
Stanislavski disait : « Quel que soit son rôle, l'acteur doit toujours partir de soi-même », « il faut bien retenir que dans la voie artistique, c'est soi, et rien que soi », « durant toute notre vie nous nous interprétons nous-mêmes. »
Critique
La « Décision du Comité central du Parti communiste de Chine sur la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne » élaborée sous la direction personnelle du président Mao, dit : « Réformer l’ancien système d’éducation ainsi que les anciens principes et méthodes d’enseignement est une tâche extrêmement importante pour la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne en cours. » A l’heure actuelle, nous devons poursuivre cette « tâche extrêmement importante » formulée par le président Mao. Une expérience majeure de la révolution prolétarienne dans l’enseignement est qu’il faut persister dans la critique révolutionnaire de masses au moyen de la penséemaotsétoung, pour liquider l’influence pernicieuse de la ligne révisionniste contrerévolutionnaire introduite dans l’enseignement par Liou Chaochi, ce renégat, agent de l’ennemi et traître à la classe ouvrière.
Cette ligne a des fondements « théoriques » qui ne sont autres quele traité : Pédagogie dû à N.A. Kairov, une « sommité » de l’enseignement révisionniste en Union soviétique. Le premier chapitre de l’édition de 1956 nous montre que ce traité contribue à la réalisation des « nouvelles tâches dans le domaine de l’éducation définies par le Xxè Congrès » des révisionnistes soviétiques et qui visent toutes le même objectif : la restauration du capitalisme...
Faire une propagande intense en faveur de la révolution socialiste ou frayer la voie au capitalisme.
Le 1er octobre 1949, la Chine nouvelle apparaissait tel le soleil rouge de l'Orient qui perce les ténèbres.
La révolution démocratique était achevée pour l'essentiel, la grande révolution socialiste commençait.
En avril 1948 déjà, le président Mao indiquait dans son œuvre brillante « Causerie pour les rédacteurs du Quotidien du ChansiSoueiyuan » : « Camarades ; vous vous occupez de journalisme. Votre tâche est d'éduquer les masses, de leur faire connaître leurs propres intérêts, leurs propres tâches, les principes et mesures politiques du Parti. »...
Editorial du «Hongqi» n° 3-4, 14 mars 1969
La Grande Révolution Culturelle Prolétarienne a remporté une victoire grandiose et décisive.
Le mouvement révolutionnaire de masse pour transformer tout ce qui, dans la superstructure, ne correspond pas à la base économique socialiste, se développe en profondeur sur tous les fronts. Les vagues de colère contre les ambitions agressives démentielles de la clique des renégats révisionnistes soviétiques déferlent sur tout le pays, dans les villes comme dans les campagnes.
Tel un raz de marée, l'immense mouvement pour faire la révolution et stimuler la production, le travail et les préparatifs en prévision d'une guerre et pour saluer, par des actions concrètes, le IXe congrès du Parti, a gagné tous les fronts...
Le «Rapport à la deuxième session plénière du Comité central issu du VIIe Congrès du Parti communiste chinois », rapport présenté par le président Mao le 5 mars 1949 et republié aujourd'hui, est un document marxisteléniniste faisant date. Ce rapport a synthétisé, de façon exhaustive, la lutte qui se déroulait entre les deux lignes, au sein du Parti, dans la période de la révolution démocratique, et il a analysé la nouvelle situation de la lutte des classes apparue après que la victoire eut été remportée pour l'essentiel dans cette révolution ; il a formulé le grand programme pour le passage de la révolution de démocratie nouvelle à la révolution socialiste, pour l'instauration et la consolidation de la dictature du prolétariat ainsi que pour l'édification du socialisme ; il constitue pour toute la période de transition une arme idéologique acérée dans la lutte contre le révisionnisme, contre la ligne opportuniste «degauche » et celle de droite. Ce grand programme révolutionnaire a illuminé tout le processus historique de la révolution et de l'édification socialistes de ces dixneuf années.
L'étude de ce rapport revêt une signification particulièrement importante pour mettre à exécution les diverses tâches définies par la douzième session plénière élargie du Comité central issu du VIIIe Congrès du Parti, comprendre de façon approfondie l'histoire de la lutte entre les deux lignes au sein du Parti, saisir la doctrine du président Mao sur la poursuite de la révolution sous la dictature du prolétariat, stigmatiser à fond les idées révisionnistes contrerévolutionnaires de Liou Chaochi, dénoncer totalement les crimes monstrueux que ce renégat, cet agent, ce traître à la classe ouvrière a commis en trahissant le Parti et la nation, ainsi que mener jusqu'au bout la grande révolution culturelle prolétarienne...
Notre grand guide, le président Mao indiqué récemment :
« Protéger les larges masses populaires ou bien les soumettre à la répression, c'est ce qui distingue fondamentalement le Parti communiste du Kuomintang, le prolétariat de la bourgeoisie et la dictature du prolétariat de celle de la bourgeoisie. »
Des classes, partis et systèmes d'Etat différents adoptent des positions, des points de vue et des attitudes différents visàvis des masses populaires et de leurs mouvements.
Protéger les masses populaires ou bien les soumettre à la répression, voilà la ligne de démarcation entre révolution et contre-révolution...
Qui crée l'histoire ?
Les héros ou les esclaves ?
C'est là un point essentiel du conflit qui, depuis toujours, a opposé les conceptions idéaliste et matérialiste de l'histoire.
En vue de maintenir leur domination réactionnaire, les classes exploiteuses ont, depuis des millénaires, pris le contrepied de l'évolution historique et propagé leur conception idéaliste qui présente les héros comme les créateurs de l'histoire. Elles ont donné pour tels les quelques figures héroïques des classes exploiteuses, les disant douées de « talent inné » et investies de la «volonté de Dieu. »
Quant aux masses populaires, elles les ont qualifiées outrageusement de « populace » subissant leur loi, voire de «matière inerte» entravant la marche de l'histoire...
L'usine de machines-outils de Changhaï est une grande entreprise industrielle connue pour sa production de rectifieuses de précision.
Elle possède plus de 600 ingénieurs et techniciens, comprenant trois catégories d'éléments : ceux issus des rangs des ouvriers représentent environ 45 pour cent, ceux sortis après la Libération des universités et des instituts, environ 50 pour cent, et le reste est constitué par des anciens techniciens d'avant la Libération.
La grande Révolution culturelle prolétarienne, telle une violente tempête, a apporté de profonds changements parmi le personnel technique de l'usine...
La grande révolution culturelle prolétarienne, en une suite de tempêtes, secoue la Chine et le monde entier.
La situation est excellente. Commencée par une vaste campagne de critique dans le domaine culturel, cette révolution accède, triomphalement, après une année de combats exaltants, à la phase de la grande critique de masse contre la poignée des plus hauts responsables qui, bien que du Parti, se sont engagés dans la voie capitaliste.
Cette vaste campagne de critique revêt une importance politique majeure ; elle constitue le développement en profondeur de la lutte menée par les révolutionnaires prolétariens pour la prise du pouvoir, une mesure d'importance permettant de liquider le venin du révisionnisme, une force motrice idéologique mobilisant les larges masses en vue de réaliser la tâche de luttecritiqueréforme, une puissante lutte de masse pour appliquer de façon approfondie, dans les domaines politique, économique, culturel et militaire, laligne révolutionnaire prolétarienne du président Mao. Nous avons devant nous deux livres : Idéal, vertus, vie intérieure (appelé simplement Idéal), édité en 1962 par les Editions de la Jeunesse chinoise, et Pensée, sentiments, talent littéraire (appelé simplement Pensée), publié en 1964 par les Editions populaires du Kouangtong...
Le tempétueux mouvement révolutionnaire de masse qui balaie la France, l'Europe et l'Amérique du Nord ces derniers jours continue à se développer rageusement.
En France, 10 millions d'ouvriers ont participé à la lutte en faisant la grève et ont occupé la moitié des usines, mines et entreprises du pays. Épaulés par les ouvriers, les étudiants de Paris ont combattu héroïquement les CRS et la police réactionnaire, soulevant une nouvelle vague de la lutte. Avec l'approfondissement de la lutte ouvrière, le mouvement des paysans, lui aussi, se développe rapidement. La lutte des masses populaires s'étend à de plus en plus de pays capitalistes. C'est une lutte de masse d'une ampleur qu'on avait plus vue depuis des dizaines d'années au cS ur du monde capitaliste. Elle frappe violemment le système capitaliste pourrissant, décadent. La grande puissance des masses populaires se manifeste on ne peut mieux dans cette tempête.
Dans le déferlement révolutionnaire des ouvriers, des étudiantset des masses populaires françaises, nous constatons encore une fois la vérité énoncée par le président Mao quand il nous dit : « l'impérialisme et tous les réactionnaires sont des tigres en papier »...
Au moment où, dans l'ensemble du monde capitaliste ayant à sa tête l'impérialisme américain, la crise politique et économique va s'accélérant, un vaste et impétueux mouvement des étudiants et des ouvriers s'est levé et bat son plein. En France, de nombreux jeunes étudiants portant haut levé le grand drapeau révolutionnaire sont descendus dans la rue. Les mouvements ouvriers et estudiantins français sont d'une ampleur et d'une puissance sans pareille depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Tels les flots de la mer en furie, ils montent violemment à l'assaut de la société capitaliste pourrissante.
Malgré les innombrables fleuves et montagnes qui séparent Paris et Pékin, la lutte du peuple français est étroitement liée à la nôtre.
Avec une grande émotion, nous suivons chaque action révolutionnaire de la classe ouvrière et des étudiants de France.Nous nous réjouissons sincèrement de chacune de leur victoire. Quels que soient les ouragans, les difficultés et les revers que le peuple français sera amené à rencontrer dans la voie de la lutte révolutionnaire, nous nous tiendrons toujours aux côtés de la classe ouvrière et des jeunes étudiants de France et notre cS ur sera à l'unisson de celui du peuple français...
La grande révolution culturelle prolétarienne puise un nouvel essor dans la ligne révolutionnaire incarnée par le président Mao. Les larges masses révolutionnaires se 'livrent à une réfutation sans merci de la ligne réactionnaire bourgeoise. C'est donc dans une situation excellente, et remplis d'un esprit de fierté militante que nous honorons la mémoire de Lou Sin — notre précurseur dans la révolution culturelle.
Notre éditorial Levons haut le grand drapeau rouge de la pensée de Mao Zedong ; participons activement à la grande révolution culturelle socialiste a eu un immense retentissement, tant dans l'Armée populaire de Libération qu'en dehors d'elle. La grande masse des ouvriers, des paysans, des soldats et des cadres révolutionnaires a fait preuve d'un, remarquable enthousiasme révolutionnaire et nous a envoyé des flots de lettres et d'articles.
Active dans la lutte, elle exprime sa vive indignation contre la ligne noire, antiparti et antisocialiste, qui s'est manifestée dans le domaine culturel.
Elle sait que la grande polémique actuelle sur le front culturel ne se résume pas, en fin de compte, à une question concernant 1quelques articles, pièces ou films, ni simplement à un débat académique...
Le chef de file de l'impérialisme américain, Lyndon Johnson, a lancé sur le marché ce qu'il a appelé un programme de « suspension partielle des bombardements », programme visant en fait à escroquer la paix, mais en moins de deux semaines, avant même que son complot ait été mis pleinement à exécution, les intentions meurtrières de Johnson se sont révélées au grand jour.
Un grand nombre de faits ont en effet prouvé que le stratagème de Johnson était une grande, pure et simple, une énorme supercherie.
Qu'a donc fait l'administration Johnson au cours des quinze jours qui viennent de s'écouler ?
Au moment précis où Johnson en appelait à la « réalisation de la paix »au Vietnam, le gouvernement américain adaptait unesérie de mesures destinées à y intensifier sa guerre d'agression. Il ordonnait un appel sous les armes de 24.500 réservistes des forces terrestres, navales et aériennes, se préparant à porter à près de 550.000 les effectifs destinés à l'agression au Vietnam. Le gouvernement américain s'est démené pour déplacer ses troupes et ses commandants. C'est ainsi qu'il a remplacé Westmoreland, commandant des troupes d'agression américaines au Vietnam par Craighton Abrams, auquel la population Sud-Vietnamienne a également infligé un grand nombre de défaites...
Salut camarades ! Tous mes vœux aux camarades pour une victoire totale de la Grande Révolution Culturelle
Prolétarienne !
(Applaudissements chaleureux de tout le public.)
Je n’ai pas participé à la précédente période de la grande révolution culturelle au Hunan et n’ai fait aucune enquête à son sujet. Ce n’est que le 2 de ce mois que, conjointement avec le Premier ministre Chou, je suis entré en contact avec elle. Je ne sais rien de la révolution culturelle du Hunan. La visite que me firent les camarades du Hunan fut la seule occasion où je pus me renseigner, grâce aux documents qu’ils me fournirent. J’adresse donc mes remerciements à ces camarades ! On m’a remis de nombreux documents, mais je n’ai pas eu le temps de les lire tous. C’est pourquoi je n’ai pu procéder à une étude détaillée de ces documents. Je n’ai lu quele « programme » du Cheng-wu-lien... Tout le monde devrait lire cet étrange programme...
L'esprit de coterie bourgeois et petit-bourgeois peut se comparer à un serpent venimeux dont la morsure est redoutable.
Ce serpent étreint certains profondément infectés.
Aussi est-il indispensable, afin d'éveiller la vigilance de tous les révolutionnaires, d'énumérer les crimes de l'esprit de coterie.
Ne pas mettre en pratique, ne pas appliquer rigoureusement les directives du camarade Mao Zedong, ne pas écouter la voix du quartier général prolétarien. N'extraire des directives que ce qu'on aime, brouillant ainsi l'orientation générale de la lutte, ébranlant les dispositions stratégiques du quartier général du camarade Mao Zedong.Tel est le premier crime de cet esprit. Rejeter l'intérêt du peuple, du parti, de l'Etat, de l'ensemble, pour ne tenir compte que de sa propre tendance. Tel en est le deuxième crime...
A l'heure actuelle, la situation dans les régions rurales est excellente.
De même que les larges masses révolutionnaires urbaines, les centaines de millions d'anciens paysans pauvres et paysans moyens de la couche inférieure sont pleinement mobilisés. Guidés par la ligne révolutionnaire prolétarienne du président Mao, ils entreprennent le combat contre l'égoïsme et la réfutation du révisionnisme, ce qui permet d'élever considérablement leur niveau de conscience socialiste. Le grand mouvement révolutionnaire a impulsé un nouvel essor de la production : la récolte de cette année est superbe. La campagne chinoise présente un aspect de prospérité générale.
Réfuter de façon encore plus approfondie la ligne révisionniste contrerévolutionnaire du Khrouchtchev chinois concernant les régions rurales, liquider son influence néfaste, constitue à l'heure actuelle une tâche de combat d'importance majeure pour développer la grande révolution culturelle prolétarienne dans les campagnes...
Depuis la grande Révolution socialiste d'Octobre, 50 années se sont écoulées.
Dirigée par Lénine, le grand éducateur du prolétariat, elle faisait, pour la première fois, une réalité de la théorie sur la dictature du prolétariat formulée par Marx et Engels et, sur un sixième du globe, était fondé le premier Etat de dictature du prolétariat de l'histoire de l'humanité.
Pour l'humanité, une nouvelle ère commençait.
Une nouvelle époque s'ouvrait, celle de la révolution prolétariennemondiale et de la dictature du prolétariat.
Une nouvelle époque commençait, celle de la lutte de libération des nations oppimées dirigée par le prolétariat...
par un groupe de révolutionnaires prolétariens de la Fédération des Syndicats de Chine populaire
Publié dans le Renmin Ribao du 5 octobre 1967
Présentation du Renmin Ribao :
La Chine d'aujourd'hui est le foyer des contradictions dans le monde et le centre de la tempête de la révolution mondiale.
Où va la Chine ? Suivratelle la voie socialiste ou la voie capitaliste ? C'est là non seulement la question fondamentale de la politique chinoise, mais aussi une question touchant le sort de la révolution prolétarienne mondiale.
Sur cette question fondamentale, il existe, depuis plusieurs décennies, dans chaque étape historique du développement de la révolution chinoise et à chaque moment crucial marquant un tournant de la révolution, deux lignes diamétralement opposées au sein du Parti communiste chinois, entre lesquelles la lutte est acharnée.
Une ligne soutient que la révolution chinoise doit nécessairement se faire sous la direction du prolétariat, qu'elle doit entrer dans l'étape de la révolution socialiste en passant par l'étape de la révolution de démocratie nouvelle et que la révolution sous la dictature du prolétariat doit être menée jusqu'au bout pour réaliser finalement le communisme. C'est là la ligne révolutionnaire prolétarienne incarnée par notregrand guide, le président Mao...
par les bureaux de rédaction du Wenhui Bao, du Jiefang Ribao et du Zhibu Shenguo
Publié le 10 août 1967
Que le prolétariat saisisse le pouvoir par la lutte armée ou par «la voie parlementaire »', c'est là la divergence fondamentale entre le marxismeléninisme et le révisionnisme.
Toute l'histoire du mouvement communiste international nous enseigne que les révisionnistes, grands ou petits, ont toujours été des partisans du « crétinisme parlementaire. »
Sans exception, ils ont nié que la révolution par la violence est la loi universelle de la révolution prolétarienne.
1. L’anarchisme nie le pouvoir du prolétariat et est opposé à la pensée mao zedong. « Nous ne reconnaissons aucune autorité basée sur la confiance. Toutes les règles et toutes les contraintes doivent être abolies. »
Toutes ces négations reviennent à rejeter toute autorité, même le pouvoir du prolétariat, et en particulier le pouvoir absolu de la pensée Mao Zedong.
2. L’anarchisme nie toute direction loyale à la pensée mao zedong et invite à bombarder le quartier général du prolétariat. « Vive la suspicion envers tout ! Rejetez tout, renversez tout ! A bas tous les gouvernants, supprimez toutes les barrières ! » Cela veut-il dire que la direction du quartier général prolétarien, représentée par le président Mao, doit être soumise elle aussi, à la suspicion ? et doit-il être également rejeté et renversé ? Doit-il être aussi considéré comme une « barrière » et « supprimé » ?
3. L’anarchisme abolit la différence fondamentale existant entre la dictature prolétarienne et la dictature bourgeoise, et s’oppose à la dictature prolétarienne...
Ecrit par les rédactions du Hongqi et du Renmin Ribao. Selon une lettre du nouveau responsable de la propagande Wang Li à la direction de l'agence de presse Chine Nouvelle : « Il paraît que le président Mao l'a corrigé et critiqué lui-même. Cet article fait suite aux débats de la séance élargie du bureau politique. »
Le livre sur le « perfectionnement individuel » des communistes est l'œuvre représentative du plus haut des responsables qui, bien que du Parti, se sont engagés dans la voie capitaliste. Ce livre est une grande herbe vénéneuse qui s'oppose au marxisme-léninisme et à la pensée de Mao Zedong. Son poison s'est répandu par tout le pays et dans le monde. Il faut donc entreprendre une critique à fond de ce livre.
Quelle est donc l'essence de ce sinistre ouvrage sur le « perfectionnement individuel » des communistes ?
Dans son essence, ce triste ouvrage trahit la doctrine marxiste léniniste sur la dictature du prolétariat. Et trahir cette doctrine,c'est trahir intégralement et radicalement le marxisme léninisme, c'est trahir complètement, radicalement la cause révolutionnaire du prolétariat...
... La Commune de Paris, la Commune ; n'avons nous pas tous dit qu'une réédition de la Commune de Paris serait une nouvelle forme de pouvoir d'État ? La Commune de Paris fut créée en 1871, voici quatrevingtseize ans ; si la Commune de Paris n'avait pas abouti à un échec, si elle avait triomphé, elle serait certainement devenue de nos jours, je pense, une commune de la bourgeoisie, parce que la bourgeoisie française n'aurait certainement pas permis à la classe des travailleurs français de garder un pouvoir politique aussi étendu entre ses mains. Voilà ce qu'était la Commune de Paris. Quant au pouvoir d'État des Soviets... Jadis, dès la naissance du pouvoir d'État des Soviets, Lénine se frotta les mains ; il pensait que c'était une création formidable des travailleurs, des paysans et des soldats, une nouvelle forme de dictature dy prolétariat.
Mais Lénine n'avait pas pensé jadis que nï les travailleurs, ni les paysans, ni les soldats ne pourraient utiliser un tel régime, pas plus que la bourgeoisie ni même en fin de compte Khrouchtchev. En effet, les Soviets actuels... Eh bien, les Soviets de Lénine se sont métamorphosés en Soviets da Khrouchtchev. L'Angleterre est une monarchie, estce qu'ils n'ont pas une reine ? L'Amérique a un régime présidentiel, mais au fond, il n'y a aucune différence, ce sont de part et d'autre des dictatures de la bourgeoisie...
Editorial du Renmin Ribao et du Hongqi (1er janvier 1967)
La grande révolution culturelle prolétarienne qui a pris son essor en 1966, en Chine, est, en notre 20ème siècle, le plus grand événement des années soixante.
Editorial du Renmin Ribao du 28 aoû t 1966
Se mettre à l'école de l'Armée populaire de Libération, c'est là un grand appel lancé par le président Mao au peuple du pays tout entier.
Editorial du Renmin Ribao du 15 août 1966
Editorial du Renmin Ribao du 13 août 1966
C'est sous la direction personnelle du camarade Mao Zedong qu'a été rédigée la Décision du Comité central du Parti communiste chinois concernant la grande révolution culturelle - les 16 points.
Faire confiance aux masses, s'appuyer sur elles, les mobiliser sans réserve, respecter leur esprit d'initiative, tel est le sens fondamental des 16 points.
Editorial du Renmin Ribao du 11 août 1966
La Grande Révolution Culturelle Prolétarienne en cours est une grande révolution qui touche l'homme dans ce qu'il a de plus profond. Elle représente une nouvelle étape, marquée par une plus grande profondeur et une plus grande ampleur du développement de la révolution socialiste de notre pays.
À la dixième session plénière du Comité central issu du VIIIe Congrès du Parti communiste chinois, le camarade Mao Zedong a dit : Pour renverser un pouvoir politique, on commence toujours par préparer l'opinion publique et par agir dans le domaine idéologique...
Editorial du du Renmin Ribao du 29 juillet 1966
Editorial du du Renmin Ribao du 21 juillet 1966
Editorial du Renmin Ribao du 17 juillet 1966
Renmin Ribao,
5 juillet 1966
Depuis le 29 juin, l'impérialisme américain a, à maintes reprises, opéré des bombardements massifs contre les villes de Hanoi, capitale de la République démocratique du Vietnam, et de Haiphong, la deuxième ville du pays.
C'est là un acte de guerre des plus barbares et des plus forcenés qu'il ait commis.
Depuis le 29 juin 1966, les impérialistes américains ont bombardé plusieurs fois de suite et avec insolence la ville de Hanoi, capitale de la République démocratique du Vietnam, et Haiphong, la deuxième ville du pays.
Editorial du Renmin Ribao du 24 juin 1966
Editorial du Renmin Ribao du 8 juin 1966
Le développement rapide et impétueux de la grande révolution culturelle prolétarienne de notre pays a provoqué une secousse dans le monde.
Editorial du 7 juin 1966 du Jiefangjun Bao (Quotidien de l'Armée de Libération)
Editorial du Renmin Ribao du 4 juin 1966
Editorial du Renmin Ribao du 5 juin 1966
Editorial du Renmin Ribao du 4 juin 1966
Editorial du Renmin Ribao du 3 juin 1966
Editorial du Renmin Ribao Diario du 2 juin 1966
La grande révolution culturelle prolétarienne a d'ores et déjà atteint un niveau élevé. Nous devons nous placer à l'avant-garde de ce mouvement et de le guider activement.
Editorial du Renmin Ribao du 2 juin 1966
La Chine se trouve aujourd'hui, après la prise du pouvoir par le prolétariat, dans une ère nouvelle de grandes transformations, dans une situation nouvelle, où la révolution socialiste gagne en profondeur, et au milieu du flot impétueux de la grande révolution culturelle socialiste qui touche l'homme dans ce qu'il a de plus profond.
Editorial du Renmin Ribao du 1er juin 1966
La grande révolution culturelle prolétarienne que connaît la Chine socialiste, où vit le quart de la population mondiale, est en plein essor.
Aujourd'hui, au moment où la grande révolution culturelle prolétarienne bat son plein et au moment où nous attaquons énergiquement la ligne réactionnaire bourgeoise, nous rendons hommage au grand combattant communiste Lou Sin. Cette commémoration a un profonde signification pour nous, car elle nous encourage à mener jusqu'à la victoire finale la grande révolution culturelle prolétarienne.
1. ATTAQUES PERFIDES CONTRE NOTRE GRAND PARTI
par Tsi Pen-yu
Par Jiang Qing + témoignage de la troupe numéro 1 de Pékin, de l'opéra de Pékin
Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour ce festival, première campagne pour la révolution de l'opéra de Pékin. Vous avez tous fourni un labeur considérable.
Les résultats en sont prometteurs et auront probablement une profonde influence.
Désormais, on met en scène des opéras de Pékin à thème révolutionnaire contemporain, mais chacun s'en faitil la même idée ? Je crois qu'il serait prématuré de l'affirmer...
Le caractère réactionnaire des propos du soir à Yenchan et de la chronique du Village des Trois ;
par Yao Wen-yuan
Editorial du Hongqi (Drapeau rouge) n ° 14, 1966
La situation présente de la grande révolution culturelle prolétarienne est excellente.
Editorial du Hongqi, No. 12, 1966
par Kao Kiu
Publié dans le Jiefangjun Bao du 8 mai 1966 (Quotidien de l'Armée de Libération)
Editorial du Hongqi (Drapeau rouge) n ° 10, 1966
Editorial du Hongqi (Drapeau rouge), n ° . 9, 1966
La camarade Jiang Qing a proposé de commencer par lire des œuvres littéraires et, ensuite, d'étudier des documents et matériaux ayant trait à ces problèmes, avant d'ouvrir la discussion.
Elle nous a recommandé la lecture des œuvres du président Mao ayant trait à ces problèmes.
Elle a eu 8 entretiens particuliers avec des camarades de l'armée, elle a participé à 4 discussions collectives et a assisté en notre compagnie à 13 projections cinématographiques et à 3 représentations théâtrales.
Elle a échangé des vues avec nous au cours même de la projection de ces films et de la représentation de ces pièces...