Dans l’État espagnol, le collectif « Odio del Clase » connaît le genre d'attaques que l'on connaît bien en France, puisqu'il y a eu les mêmes contre le PCMLM.

Insultes, mensonges, manœuvres par derrière, manipulations... Les révisionnistes, ne possèdent aucune capacité théorique ni culturelle, pratiquent toujours la seule chose qu'ils connaissent : la manipulation pour tenter de se maintenir.

Cela pourrait être futile si, avec le collectif ODC, il n'y avait pas aussi de visé le Collectif Prolétaire Internationaliste, qui dans l'Etat espagnol soutient la guerre populaire en Inde.

C'est ce que fait, en Galice, le Comité de Loita Popular "Manolo Bello", qui oublie de mentionner ODC, qui balance des rumeurs malveillantes par derrière autant que c'est possible, etc.

Ces gens sont d'autant plus « gonflés » dans leur démarche qu'ils défendent les mêmes positions révisionnistes que le Parti Communiste Maoïste d'Italie.

Ils ont en effet pendant des années défendu Prachanda et le prachandisme, justifiant évidemment les accords de paix au Népal de 2006.

Ce faisant, ils ont naturellement dénoncé les « dogmatiques », les « sectaires », etc. Et là, ils soutiennent la pseudo « fraction rouge » au Népal, qui serait censée « sauver » la révolution.

De manière intéressante, ces gens ont soutenu pendant longtemps le Comité du MRI ainsi que la « nouvelle synthèse » faite par le PC révolutionnaire des USA, afin évidemment de faire un virage à 180° ces derniers temps tellement c'était énorme.

Tout cela est du grand n'importe quoi. D'ailleurs, on peut juger aisément de ces gens en voyant qu'ils n'ont pas de programme, pas de documents avec une orientation scientifique assumée et expliquée, pas d'analyses de fond de la société de leur pays, etc.

Le degré zéro du marxisme, accompagné de pratiques de manipulation : voilà bien une culture de décomposition.

Les personnes parlant l'espagnol peuvent lire ici un résumé de la situation faite par Odio del Clase.