19
déc
2009
L’échec de la conférence de Copenhague a comme cause l’incompréhension de la nature de la biosphère
Submitted by Anonyme (non vérifié)
Copenhague est un échec lamentable. C’est une claque pour les prétentions des dominants, mais aussi pour les pseudos-révolutionnaires qui fantasment d’un nouvel ordre « totalitaire » que serait le « capitalisme vert. »
Et c’est un coup terrible porté à notre biosphère! Voilà pourquoi le PCMLM assume le drapeau de la révolution socialiste, du renversement de la domination matérielle et culturelle de la bourgeoise.
Car il ne peut pas y avoir de « capitalisme vert » ! Le sommet de Copenhague a évidemment été un exemple des valeurs bourgeoises: les hôtels proposaient du foie gras et des coquilles Saint-Jacques, 1200 limousines étaient disponibles, ainsi que 140 jets privés, certains devant se garer dans les aéroports régionaux ou en Suède par manque de place à Copenhague!
Accompagnant ce classicisme bourgeois de l’opulence, on a droit à des phénomènes baroques: le Conseil du sommet ayant incité les délégués à « être durable et à ne pas acheter de sexe », le syndicat local des travailleurs du sexe a annoncé que ses 1400 membres offriraient des prestations sexuelles gratuites aux délégués sur présentation de leur pass!
Comment avec une telle culture, l’humanité pourrait-elle ne pas être en guerre avec notre planète? Les valeurs de la vie quotidienne capitaliste sont incompatibles avec l’existence des êtres vivants sur notre planète, car le mode de production capitaliste repose sur la reproduction élargie du capital.
Le capitalisme a besoin de gens plus gros pour pouvoir consommer des animaux réduits à l’état d’esclaves (voir le document Crise du capitalisme et intensification de la productivité: le rôle des animaux dans la chute tendancielle du taux de profit), le capitalisme a besoin d’anéantir la nature afin de bâtir toujours plus de possibilités d’exploiter.
Les capitalistes ont donc constaté qu’il valait mieux que limiter le réchauffement planétaire à 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, cependant ils n’ont pris aucun changement concret (à la base la conférence visait à ne pas dépasser 1,5°C et en l’état les experts misent sur une hausse de 3,5°C).
Car si le capital peut constater des choses de manière pragmatique (c’est le matérialisme bourgeois), il ne « pense » pas; il n’a qu’un seul but: se reproduire en s’élargissant. Il est un mode de production qui a fait son temps: la planète a besoin d’une humanité fondant son activité sur la planification, avec comme identité la compréhension de son appartenance à la biosphère! Telle est la position du PCMLM.
Le PCMLM affirme la nécessité du matérialisme, de la compréhension pleine et complète de la loi essentielle de notre univers – la transformation ininterrompue de la matière éternelle de manière dialectique.
Ce n’est qu’avec cette compréhension que l’on peut comprendre l’émergence de notre planète en tant que biosphère, la transformation de la planète permettant l’apparition des végétaux, des animaux, parallèlement aux minéraux.
C’est seulement cette compréhension matérialiste qui permettra à l’humanité d’être non pas au service de l’accumulation du capital, mais une composante consciente de la biosphère.
Voilà pourquoi le PCMLM affirme le nouveau contre l’ancien, le matérialisme contre l’idéalisme, la science contre la barbarie.
Il faut étudier les travaux de Vernadsky sur la biosphère, et comprendre de manière matérialiste comment sur notre planète tout est lié !
Telle est l’identité du PCMLM, seule organisation à assumer de manière scientifique cette exigence de notre époque ; telle est notre identité d’avant-garde.
Le PCMLM, c’est le Parti de Vernadsky, c’est le Parti de la biosphère, car c’est le Parti de la classe ouvrière !
La classe ouvrière, classe la plus révolutionnaire de notre époque, exige une vie matérialiste, fondée sur le travail conscient, se fondant sur la planification!
Car il ne peut pas y avoir de « capitalisme vert » ! Le sommet de Copenhague a évidemment été un exemple des valeurs bourgeoises: les hôtels proposaient du foie gras et des coquilles Saint-Jacques, 1200 limousines étaient disponibles, ainsi que 140 jets privés, certains devant se garer dans les aéroports régionaux ou en Suède par manque de place à Copenhague!
Accompagnant ce classicisme bourgeois de l’opulence, on a droit à des phénomènes baroques: le Conseil du sommet ayant incité les délégués à « être durable et à ne pas acheter de sexe », le syndicat local des travailleurs du sexe a annoncé que ses 1400 membres offriraient des prestations sexuelles gratuites aux délégués sur présentation de leur pass!
Comment avec une telle culture, l’humanité pourrait-elle ne pas être en guerre avec notre planète? Les valeurs de la vie quotidienne capitaliste sont incompatibles avec l’existence des êtres vivants sur notre planète, car le mode de production capitaliste repose sur la reproduction élargie du capital.
Le capitalisme a besoin de gens plus gros pour pouvoir consommer des animaux réduits à l’état d’esclaves (voir le document Crise du capitalisme et intensification de la productivité: le rôle des animaux dans la chute tendancielle du taux de profit), le capitalisme a besoin d’anéantir la nature afin de bâtir toujours plus de possibilités d’exploiter.
Les capitalistes ont donc constaté qu’il valait mieux que limiter le réchauffement planétaire à 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, cependant ils n’ont pris aucun changement concret (à la base la conférence visait à ne pas dépasser 1,5°C et en l’état les experts misent sur une hausse de 3,5°C).
Car si le capital peut constater des choses de manière pragmatique (c’est le matérialisme bourgeois), il ne « pense » pas; il n’a qu’un seul but: se reproduire en s’élargissant. Il est un mode de production qui a fait son temps: la planète a besoin d’une humanité fondant son activité sur la planification, avec comme identité la compréhension de son appartenance à la biosphère! Telle est la position du PCMLM.
Le PCMLM affirme la nécessité du matérialisme, de la compréhension pleine et complète de la loi essentielle de notre univers – la transformation ininterrompue de la matière éternelle de manière dialectique.
Ce n’est qu’avec cette compréhension que l’on peut comprendre l’émergence de notre planète en tant que biosphère, la transformation de la planète permettant l’apparition des végétaux, des animaux, parallèlement aux minéraux.
C’est seulement cette compréhension matérialiste qui permettra à l’humanité d’être non pas au service de l’accumulation du capital, mais une composante consciente de la biosphère.
Voilà pourquoi le PCMLM affirme le nouveau contre l’ancien, le matérialisme contre l’idéalisme, la science contre la barbarie.
Il faut étudier les travaux de Vernadsky sur la biosphère, et comprendre de manière matérialiste comment sur notre planète tout est lié !
Telle est l’identité du PCMLM, seule organisation à assumer de manière scientifique cette exigence de notre époque ; telle est notre identité d’avant-garde.
Le PCMLM, c’est le Parti de Vernadsky, c’est le Parti de la biosphère, car c’est le Parti de la classe ouvrière !
La classe ouvrière, classe la plus révolutionnaire de notre époque, exige une vie matérialiste, fondée sur le travail conscient, se fondant sur la planification!
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