La pseudo justice bourgeoise à du reculer face à la morale prolétarienne, Mickël Prince a été relaxé dans l'affaire « Allez Marcel, un demi qu’on oublie nos soucis ».

Syndicaliste dans la société de transport frigorifique TFE, il avait comparu devant le tribunal d’Amiens mi mars car on lui reprochait d'avoir dénoncé la propagande de sa direction en faveur de l'alcoolisme. Mickël Prince avait mis en ligne un clip dénonçant une chanson qui faisait l'apologie de l'alccol.

Dans une orgie de mauvaise foi, il était accusé de contre-façon et le procureur avait requis 1000€ d'amende avec sursis, ce que nous avions dénoncé alors comme une offensive anti-prolétaire.

Cette mauvaise foi est tout à fait logique car la bourgeoisie ne supporte pas que sa culture soit remise en cause par des prolétaires, surtout en ce qui concerne l'alcool. C'est une tradition bien ancrée dans la société capitaliste française. 

Le juge a finalement relaxé Mickël Prince, car il a été contraint de reculer face à la pression populaire, face au scandale que suscitait cette procédure judiciaire odieuse. Face à la bourgeoisie, seule le rapport de force compte, seule la lutte des classes est efficace pour lui imposer la justice populaire. 

La relaxe de Mickël Prince est donc une bonne chose, c'est un petit pas certes, mais c'est une foulée qui part dans la bonne direction, celle qui verrait la justice populaire triompher des valeurs réactionnaires de la bourgeoisie ! 

Que la classe ouvrière se débarrasse totalement de ce fléau bourgeois qu'est l'alcool !

Que la classe ouvrière assume pleinement la lutte des classe, qu'elle sache mener la Guerre Populaire Prolongé afin que triomphe la morale prolétarienne et périsse cette vieille culture bourgeoise !