Ce fascisme ne s’oppose pas au centralisme absolu, bien au contraire ils sont complémentaires. C’est un fascisme sans vergogne.
C’est encore plus clair aujourd’hui, voir le discours de Fujimori du 28 juillet 1995, "Gérance de l’Etat directement, avec efficacité et permanence", "démocratie économique", "nouveau nationalisme", "modernisation", "nous voulons être modernes", (Chiang Kai Shek); "Etat moderne", "grandes reformes structurelles", "Croisée éducative", "nouveau cadre de légalité", "ni populisme ni ultra libéralisme, ni gauche ni droite, ni capitalisme", "C’est un Etat où se défend le principe de l’autorité", "reforme du pouvoir de Justice", "enfin nous avons la capacité de planifier des objectifs à long terme", "arriver à la renaissance du Pérou dans le nouveau millénaire".